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Janvier 2013 : Différence entre versions

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(Pourquoi travailler ?)
(Anticipation.)
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Ces lignes ont été écrites en 1987, et s'adressaient aux parents des élèves d'une des écoles fondées par des Dominicaines enseignantes. Quel serait aujourd'hui le diagnostic de cette directrice expérimentée ?  <br/><br/>
 
Ces lignes ont été écrites en 1987, et s'adressaient aux parents des élèves d'une des écoles fondées par des Dominicaines enseignantes. Quel serait aujourd'hui le diagnostic de cette directrice expérimentée ?  <br/><br/>
  
==  Anticipation. ==
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==  Outils ou prothèses ?  ==
Le troisième trimestre est bien entamé, et nombre de parents s'interrogent déjà sur la façon d'aborder la scolarité de leurs enfants à la rentrée de septembre 2012. <br/>L'anticipation et la prévoyance sont - là aussi - garantes d'efficacité et de sérénité : pour les parents d'abord, le Cours ensuite, et par voie de conséquence directe, les élèves eux-mêmes qui pourront débuter leur travail au moment voulu, avec des documents complets et reçus à temps. Afin de faciliter cette anticipation, vous trouverez avec cette lettre des formulaires de préinscription pour vos enfants, ainsi que les tarifs actualisés : il vous est aussi possible, comme beaucoup d'autres, d'aller consulter les pages du site !<br/><center>
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Un éditorial récent (le Spectacle du monde - déc. 2012) souligne par ailleurs les travaux dérangeants d'un "chercheur qui soutient qu'un Grec d'il y a trois mille ans avait les idées plus claires, l'imagination plus vive, l'entendement plus prompt et le jugement plus sûr - en un mot, la cervelle mieux faite - que le plus affûté d'entre nous bardé de toutes ses cyberprothèses, et surtout qu'il était « beaucoup plus stable émotionnellement ». Il est assez aisé de traduire ce mot "cyberprothèses" par ordinateurs, internet, téléphones, télévisions, tabloïds, GPS, ... et autres nouveautés technologiques étonnantes et merveilleuses, dont le principal défaut est de générer, en raison même de leur nature, la passivité, la dépendance et parfois l'addiction.
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Outils ou prothèses ? L'usage d'un outil "matériel" ne paralyse pas la vie intellectuelle, n'empoisonne pas la vie morale et spirituelle. L'outil, dès lors qu'il est dominé, prolonge l'action volontaire : il ne s'impose pas. Nous sommes bien là dans le "autant que - pas plus que" cher à Saint Ignace. Comment faire pour domestiquer et dominer ces nouveaux outils et les tourner vers le but d'éducation poursuivi ? La question mérite elle même une attention soutenue de la part de chacun des responsables - parents, enseignants, éducateurs, ... - pour apporter une réponse adaptée : interdiction, suppression, limitation, apprentissage, maîtrise, ... ?
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<big>"http://coursprivecefop.org"</big> </center><br/><br/>
 
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pour y consulter les informations, ou récupérer les outils qui vous permettront de prévoir les dépenses nécessaires et aider à ces inscriptions. Ce site "public" est d'abord destiné à l'information des familles qui recherchent une solution alternative pour l'éducation catholique de leurs enfants : n'hésitez donc pas à le mentionner dans vos conversations. J'ai découvert très récemment que parmi mes proches, qui m'y ont pourtant vu travailler, l'existence de ce site informatif était inconnue ! Si nous ne disposons pas des immenses moyens matériels qu'utilise " l'Éducation Nationale" pour sa publicité, il est en revanche tout à fait possible de faire connaître le Cours et ce que chacun peut en apprécier à son niveau par le "bouche à oreille", je crois sans respect humain ni modération.<br/> Le site est évidemment utilisable par les familles dont les enfants sont déjà inscrits au Cours, pour compléter une information manquante, récupérer un papier égaré, ou éviter l'impression et l'expédition d'un document courant : en attendant l'ouverture d'un site "privé", réservé aux échanges entre les familles des élèves inscrits et le Cours.
 
pour y consulter les informations, ou récupérer les outils qui vous permettront de prévoir les dépenses nécessaires et aider à ces inscriptions. Ce site "public" est d'abord destiné à l'information des familles qui recherchent une solution alternative pour l'éducation catholique de leurs enfants : n'hésitez donc pas à le mentionner dans vos conversations. J'ai découvert très récemment que parmi mes proches, qui m'y ont pourtant vu travailler, l'existence de ce site informatif était inconnue ! Si nous ne disposons pas des immenses moyens matériels qu'utilise " l'Éducation Nationale" pour sa publicité, il est en revanche tout à fait possible de faire connaître le Cours et ce que chacun peut en apprécier à son niveau par le "bouche à oreille", je crois sans respect humain ni modération.<br/> Le site est évidemment utilisable par les familles dont les enfants sont déjà inscrits au Cours, pour compléter une information manquante, récupérer un papier égaré, ou éviter l'impression et l'expédition d'un document courant : en attendant l'ouverture d'un site "privé", réservé aux échanges entre les familles des élèves inscrits et le Cours.

Version du 13 mai 2013 à 10:03

 Encouragements -:- Directives Générales aux Parents -:- Depuis_1981 

 Courriers_et_alertes_aux_familles -:- Un_peu_de_lecture_...   -:- Inscrire votre enfant 



Bonne et Sainte année 2013!

Pourquoi travailler ?

"Pourquoi travailler ? À quoi cela sert-il d'apprendre tant de choses ? Pourquoi est-ce si difficile ? Ce serait mieux d'apprendre en s'amusant !"

Qui d'entre nous n'a pas en son temps posé ces questions, ou d'autres similaires ; quelle maman, quel papa, quel éducateur n'a pas eu à y répondre, sans toujours bien savoir comment d'ailleurs ? ni éviter un "c'est ainsi..." un peu trop vague pour satisfaire l'enfant qui questionne. Dans l'une des méditations du temps de l'Avent qu'il proposait aux Bénédictines du Mesnil Saint Loup, le Père Emmanuel donne des indications précieuses  :
"le péché originel blesse à la fois nos corps et nos âmes. Il blesse nos corps qu'il a assujettis à la maladie et à la mort ; il blesse encore plus nos âmes en les jetant dans l'ignorance et la concupiscence.
L'ignorance, c'est la plaie de l'intelligence. L'homme ne sait rien ; il vient au monde plus ignorant que l'animal ; car celui-ci cherche la vie et il la trouve, l'homme forcément se laisserait mourir. Plus tard, quand il grandit, il commence à sentir la plaie de l'ignorance ; il ne sait pas, il a peine à apprendre, il répugne à étudier, et puis, s'il étudie, sa mémoire le trompe, son esprit refuse de se porter aux choses spirituelles ; et toute sa vie, il souffrira de cette plaie. ..."

Pédagogie adpatée .

D'une certaine manière, la négation de cet état de fait conduit nombre de responsables d'éducation à promouvoir des méthodes pédagogiques toujours plus éloignées de l'esprit d'effort et de sacrifice. Nos contemporains, illusionnés par des décennies de pédagogisme martelé dans la plupart des médias, attendent toujours de la dernière réforme de l'enseignement, de la nouvelle adaptation des rythmes scolaires aux impératifs de la vie moderne, de la dernière mode audiovisuelle ou technique qu'elles permettent d'assurer à leurs enfants l'accès aux connaissances nécessaires au succès sans passer par l'apprentissage parfois pénible, souvent laborieux, toujours trop long. Il ne s'agit pas là de masochisme ou de stakhanovisme intellectuel : les connaissances à posséder, la clarté et la progressivité de leur présentation comme les rythmes d'étude sont autant de domaines dont les adaptations, les améliorations peuvent aider puissamment les élèves à découvrir, retenir et s'approprier ces connaissances. Question d'effort et d'attention.

Effort et attention !

« Je voudrais aujourd'hui vous mettre en garde contre l'abrutissement et l'intoxication de vos enfants par les moyens audio-visuels et par la télévision en particulier qui, non seulement empoisonnent la vie morale et spirituelle de vos enfants, mais paralyse la vie intellectuelle. L'agression par l'image - de slogans et d'idées toutes faites - que subit leur esprit, les dispense et les empêche même de penser. La télévision donne réponse à tout. Plus les années passent, plus nous avons du mal et aurons du mal à éveiller à la vie de l'esprit vos enfants si vous ne réagissez pas. Certes ils reçoivent - ou subissent - avec une docilité apparente la formation que nous essayons de leur donner dès les petites classes, mais nous n'arrivons plus, dans la plupart des cas, à susciter une véritable vie intellectuelle, car vos enfants sont presque tous victimes de la télévision, une des causes essentielles de leur passivité intellectuelle. »

Ces lignes ont été écrites en 1987, et s'adressaient aux parents des élèves d'une des écoles fondées par des Dominicaines enseignantes. Quel serait aujourd'hui le diagnostic de cette directrice expérimentée ?

Outils ou prothèses ?

Un éditorial récent (le Spectacle du monde - déc. 2012) souligne par ailleurs les travaux dérangeants d'un "chercheur qui soutient qu'un Grec d'il y a trois mille ans avait les idées plus claires, l'imagination plus vive, l'entendement plus prompt et le jugement plus sûr - en un mot, la cervelle mieux faite - que le plus affûté d'entre nous bardé de toutes ses cyberprothèses, et surtout qu'il était « beaucoup plus stable émotionnellement ». Il est assez aisé de traduire ce mot "cyberprothèses" par ordinateurs, internet, téléphones, télévisions, tabloïds, GPS, ... et autres nouveautés technologiques étonnantes et merveilleuses, dont le principal défaut est de générer, en raison même de leur nature, la passivité, la dépendance et parfois l'addiction. Outils ou prothèses ? L'usage d'un outil "matériel" ne paralyse pas la vie intellectuelle, n'empoisonne pas la vie morale et spirituelle. L'outil, dès lors qu'il est dominé, prolonge l'action volontaire : il ne s'impose pas. Nous sommes bien là dans le "autant que - pas plus que" cher à Saint Ignace. Comment faire pour domestiquer et dominer ces nouveaux outils et les tourner vers le but d'éducation poursuivi ? La question mérite elle même une attention soutenue de la part de chacun des responsables - parents, enseignants, éducateurs, ... - pour apporter une réponse adaptée : interdiction, suppression, limitation, apprentissage, maîtrise, ... ?


"http://coursprivecefop.org"


pour y consulter les informations, ou récupérer les outils qui vous permettront de prévoir les dépenses nécessaires et aider à ces inscriptions. Ce site "public" est d'abord destiné à l'information des familles qui recherchent une solution alternative pour l'éducation catholique de leurs enfants : n'hésitez donc pas à le mentionner dans vos conversations. J'ai découvert très récemment que parmi mes proches, qui m'y ont pourtant vu travailler, l'existence de ce site informatif était inconnue ! Si nous ne disposons pas des immenses moyens matériels qu'utilise " l'Éducation Nationale" pour sa publicité, il est en revanche tout à fait possible de faire connaître le Cours et ce que chacun peut en apprécier à son niveau par le "bouche à oreille", je crois sans respect humain ni modération.
Le site est évidemment utilisable par les familles dont les enfants sont déjà inscrits au Cours, pour compléter une information manquante, récupérer un papier égaré, ou éviter l'impression et l'expédition d'un document courant : en attendant l'ouverture d'un site "privé", réservé aux échanges entre les familles des élèves inscrits et le Cours.

Responsabilité.

Le nombre des semaines de travail à réaliser "pour passer dans la classe supérieure" inquiète semble-t-il aussi beaucoup de parents ! Vous avez dit "OBLIGATOIRES" ? J'ai répondu la semaine passée à un message de demande d'information complémentaire venu du site du Cours les lignes suivantes :
"... je ne crois pas non plus indispensable de rappeler les termes de la grande encyclique "Divini illius magistri" qui souligne la responsabilité des parents et le rôle complémentaire et subordonné des institutions dans l'éducation catholique des enfants.
Si pour certains, "l'obligation" est utile ou nécessaire, pour d'autres, la responsabilité prime.
Cette responsabilité des parents est difficile à rétablir dans un environnement éducatif très marqué depuis plus d'un siècle par le "dirigisme" de l'état et de ses émissaires. Pourtant, elle est certainement plus exigeante qu'une obéissance à des règles établies.
Que dire à des parents qui par exemple, estiment avoir déjà trop demandé (exigé?) de leurs enfants après 18 ou 20 semaines d'efforts ?
Sinon que l'ensemble du programme n'a pas été vu, donc pas assimilé, et que ces mêmes enfants auront nécessairement plus de difficultés que d'autres à suivre les cours du niveau supérieur ? Les moyennes qui donnent une approche chiffrée des progrès d'un élève, sont calculées à partir des notes obtenues pour des devoirs rendus : il m'est apparu utile à la bonne information des familles et des directeurs d'établissement appelés ultérieurement à recevoir des élèves du Cours, de compléter ces moyennes par un aperçu de la régularité (nombre de devoirs rendus par matière comparé au nombre de devoirs à rendre dans la période considérée).
Bien sûr, le programme n'est pas une fin en soi, et il s'agit bien d'abord de former des volontés et des intelligences, aptes à retrouver dans leurs mémoires les connaissances qui leur seront indispensables, selon l'état de vie qui conviendra le mieux à leur vocation..."

Le "grand écart".

Les modifications des programmes officiels se suivent et se ressemblent : la plupart tendent à l'affadissement des connaissances, à l'égalitarisme absolu au niveau du plus faible, à la promotion de "nouveautés avilissantes".
On aimerait pouvoir croire à la bonne volonté et à la rectitude d'intention des dirigeants qui, depuis 1947, ont fait mine de s'opposer à ces "évolutions" toujours présentées comme pouvant mener à des améliorations, ou les ont mises en œuvre. La permanence de ces diminutions, les résultats qu'elles engendrent (voir le dossier du Spectacle du Monde - sept. 2011) et surtout à de rares exceptions près, l'unanimité du chœur médiatique, toutes tessitures confondues, n'indique décidément pas que l'on puisse se laisser aller à ce genre d'optimisme !
Après celles de la session du baccalauréat 2012 instaurant l'obligation de l'étude de la "théorie du gender" au détriment de celle des mathématiques et de quelques rudiments d'informatique, et supprimant l'étude de l'histoire en terminale "S", les orientations décidées par les "pédagogistes" (Les Pédagogues - essai historique sur l'utopie pédagogique - Jean de Viguerie - CERF- 2011) de l'EN pour la session 2013 commencent déjà à paraître dans les Bulletins Officiels mis en ligne sur les sites dédiés. Avec une logique dont la continuité demeure exemplaire !

Comme d'autres Cours et écoles, le Cours Saint Dominique Savio - Sainte Maria Goretti essaye de maintenir et de promouvoir l'étude des traditionnels arts libéraux, sans compromission ; cela relèverait du "grand écart", la plupart du temps, si les familles qui lui font confiance n'étaient pas certaines que l'élève qui fait l'effort d'apprendre, possède déjà un avantage énorme sur celui qui se laisse aller. Et si les membres de l'équipe qui travaillent à son rayonnement ne savaient pas certainement qu'une instruction fondée sur des principes catholiques reste un bien très précieux auquel il fait bon se dévouer.

Ce "grand écart" consiste pour le Cours à continuer à préparer les élèves à l'indispensable baccalauréat, tout en préservant une haute exigence de culture classique littéraire et scientifique, fondée sur la réalité et non sur des théories subversives. Il consiste aussi pour les familles, à accepter d'utiliser des supports de cours nettement désolidarisés des programmes officiels, à jongler avec des appellations de niveaux elles aussi décalées par rapport à celles en vigueur dans les écoles de l'état, à devoir encore tolérer l'intrusion chez elles d'inspecteurs venus "au nom de la loi" vérifier si l'instruction donnée "à la maison" est bien conforme aux "canons du moment". Tout un programme, c'est bien le cas de le dire !

Pratiquement.

Du 20 juillet au 16 août prochains, le Cours sera en période de moindre activité, afin de laisser aux membres de l'équipe le temps de souffler un peu et de s'occuper des affaires qui passent l'année à attendre un petit moment de répit pour être traitées. C'est d'expérience une période où les élèves sont plus portés aux activités de la saison qu'au souci des études et où les documents administratifs se font plus rares. D'avance merci de faire parvenir vos questions et vos envois avant le 14 juillet ou après le 15 août, afin de ne pas vous faire attendre trop longtemps les réponses souhaitées.
Les appréciations et les moyennes annuelles seront établies comme l'an passé au fur et à mesure de l'arrivée des corrections de la dernière semaine de travail, et au plus tard entre le 15 et le 20 juillet. Restent d'ici là onze semaines à mettre bien à profit pour travailler avec ardeur.

Bon courage ; en union de prière.

 COURS PRIVÉ par correspondance CEFOP - SAINT DOMINIQUE SAVIO ET SAINTE MARIA GORETTI
Siège : Les Guillots- 18 260 VILLEGENON

Direction :
Courriel : direction[@]coursprivecefop.org

Secrétariat - Inscriptions - Toutes correspondances
Cours Privé CEFOP - 8 rue des tisserands - 79 390 THENEZAY
Téléphone. 09 61 51 06 16;
Courriel : secretariat[@]coursprivecefop.org